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Témoignage Marjan Vanduffel

« Je trouve INNIwise particulièrement pratique lorsqu’il faut rapidement retrouver une info »

Marjan Vanduffel travaille en tant que coordinateur HSE et conseiller en prévention interne chez Roam Technology. Depuis un an maintenant, elle utilise INNIwise pour son travail. « Sa valeur ajoutée est selon moi très certainement la disposition de check-lists à télécharger, la recherche d’informations ou la possibilité de poser des questions à des experts. »

Les défis actuels de Marjan

« Roam Technology propose des solutions de désinfection pour 4 industries générales : des solutions pour l’agriculture, des applications industrielles, des produits à la consommation et le support médical. Je me charge moi-même de contrôler les échantillons au laboratoire. Je suis également chargé du traitement des plaintes. Et en tant que conseiller en prévention interne, je suis chargé de tout ce qui touche à la sécurité ».

Mon plus grand défi au cours de la dernière année a été une charge de travail augmentée. « Notre production a triplé pendant la crise du COVID. Cela a évidemment eu un impact majeur sur la charge de travail de nos collaborateurs. Bien entendu, il n’était pas possible pour la production de faire du télétravail. Le service devait assurer une livraison aux clients à temps et correcte. Les collaborateurs ont reçu un soutien supplémentaire ».

On a également dû prendre des mesures afin de respecter les normes contre la propagation du coronavirus.  « Par exemple, les chauffeurs n’étaient plus autorisés à rentrer dans les locaux. Afin de pouvoir recevoir des personnes venant livrer des documents, nous avons également aménagé l’accueil avec des écrans de protection en plexi. De plus, nous avons également encouragé chacun à bien se désinfecter les mains, à respecter la distanciation physique et à porter le masque. Pour nos salles de réunion, nous avons également élaboré des restrictions d’occupation par mètre carré.

Quels outils d’INNIwise avez-vous surtout utilisés au cours de l’année écoulée ?

 « J’ai téléchargé différentes check-lists, par exemple concernant le contrôle annuel des échelles et du recrutement de nouveaux employés : que faut-il prendre en compte ?

En outre, j’ai également posé des questions à des experts. Par exemple, je me posais la question sur les éventuelles conséquences en termes de prévention dans le cas où Roam Technology deviendrait une entreprise Seveso (ayant une activité liée à la fabrication de substances dangereuses, ndlr.)

Recommanderiez-vous INNIwise à d’autres conseillers en prévention ?

« Bien sûr. Nous avions autrefois un abonnement papier, mais l’outil numérique est beaucoup plus facile à l’emploi. Je constate également que j’en fais plus usage maintenant. Personnellement, je trouve très utile de pouvoir retrouver facilement une information par le biais du moteur de recherche facile à l’emploi. De cette façon, vous obtenez immédiatement la bonne information. Par exemple, j’ai trouvé des informations utiles concernant les entreprises Seveso.

Découvrez tous les avantages d’INNIwise avec un essai gratuit

INNIwise : les avantages concrets

  • Accès à la communauté de conseillers en prévention
  • QR aux experts
  • Mises à jour de la législation
  • Outils pratiques (check-lists, fiches, feuilles de route)
  • Foire aux questions

Témoignage Bernard Paesen

« INNIwise permet de poser ses questions aux experts facilement et rapidement »

Bernard Paesen travaille depuis quatre ans et demi pour la commune de Steenokkerzeel. Il est expert au sein du service des Travaux publics et conseiller en prévention. Pendant la crise-COVID, INNIwise lui a régulièrement été utile pour son travail. « Je trouve l’outil très accessible. »

Les défis actuels de Bernard

« Avant le COVID, je consacrai 20% de mon temps à la prévention et le reste aux Travaux publics. Depuis la crise du COVID, j’ai dû consacrer une partie beaucoup plus importante de mon temps à la prévention. En tant que commune, nous avons dû nous assurer à chaque moment de bien respecter les mesures anti-COVID en vigueur à ce moment-là.

L’enchaînement rapide de nouvelles mesures a été pour Bernard le plus grand défi en 2020. « Certains arrêtés ministériels n’avaient été publiés que le vendredi soir pour entrer en vigueur à partir du samedi. Cela n’a pas toujours été facile pour nous, car nous avons reçu de nombreuses questions notamment de commerçants et de cafés et de restaurants.

Quels outils d’INNIwise vous ont été utiles lors de l’année écoulée ?

« Avant de devenir conseiller en prévention, nous ne disposions à la commune que de la version papier d’INNIwise. Je me suis ensuite abonné au toolbox online et nous l’aimons beaucoup. Je trouve surtout l’interaction dans la communauté un plus de la version électronique. Vous pouvez facilement et rapidement poser vos questions à des experts et il y également le partage d’expériences avec d’autres conseillers en prévention. Tout est très accessible.

Poser des questions aux experts

« Par exemple, après le premier confinement, j’ai demandé si nous avions le droit en tant que commune de demander à nos collaborateurs où ils partiraient en voyage durant l’été, et s’il ne s’agissait pas d’une atteinte à la vie privée. Dans le contexte du coronavirus, je voulais non seulement savoir où le collaborateur se rendait, mais aussi si ses enfants partaient en camps de vacances à l’étranger, par exemple. Un avocat a ensuite répondu assez rapidement à cette question par le biais d’INNIwise.

La consultation de documents et participation à des webinaires

« Je trouve également utile qu’il est à tout moment possible, au besoin, de consulter toutes sortes de documents utiles, tels que le Code et la législation relative aux accidents du travail. Plus besoin de créer soi-même une bibliothèque avec tous les documents nécessaires.

Je trouve également les webinaires organisés via INNIwise très utiles. Il est toujours très enrichissant d’apprendre des choses auprès des spécialistes. Le webinaire Safety Secured?, concernant les résultats de l’étude belge et néerlandaise relative à la sécurité au travail, m’a particulièrement marqué. En bref : je recommande très vivement INNIwise aux conseillers en prévention.

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INNIwise : les avantages concrets

  • Accès à la communauté de conseillers en prévention
  • QR aux experts
  • Mises à jour de la législation
  • Outils pratiques (check-lists, fiches, feuilles de route)
  • Foire aux questions

Prof. em. Jan Van Peteghem sur « la gestion de la sécurité et de la santé au travail »

« Les entreprises se focalisent encore trop souvent sur la sécurité, alors que les absences pour cause de maladie sont un problème bien plus important. »

En tant que dirigeant, comment abordez-vous le bien-être au travail de manière structurée ? Jan Van Peteghem a des années d’expérience en tant responsable de divers services de prévention dans de grandes entreprises de divers secteurs. Il travaille actuellement en tant que Prof. Em. à la faculté des Sciences de l’ingénieur de la KULeuven.

Pourquoi est-il nécessaire de s’adresser spécifiquement aux dirigeants ?

Je veux délibérément m’adresser à un groupe cible différent et tout aussi important. Les dirigeants ont également un rôle important à jouer dans ce domaine. Car si un dirigeant s’adresse au conseiller en prévention, il est généralement écrasé par toutes sortes d’obligations légales. Je plaide pour une approche très concrète de la prévention et du bien-être au travail. Il y a quelques semaines, les élections sociales ont eu lieu dans le secteur privé, et de nouveaux comités PPT (prévention et protection au travail) ont été créés pour la prévention et la protection. Souvent, on désigne alors un nouveau président du comité : l’employeur. Il doit orienter les discussions dans la bonne direction, en collaboration avec le conseiller en prévention interne. 

Cette approche est-elle également utile en période de coronavirus ?

Le coronavirus est un tout nouveau domaine de la politique de prévention. Le bien-être au travail s’articule autour de sept thèmes, dont les risques de sécurité, mais aussi l’hygiène au travail. Dans ce dernier cas, il s’agit de la protection contre toutes sortes d’agents, tels que les substances chimiques, mais aussi le coronavirus. Notre réglementation actuelle fournit suffisamment d’outils pour travailler également à la protection contre le coronavirus, bien que les règles n’aient pas été spécifiquement écrites pour le coronavirus. 

Quel est selon vous le problème le plus important dans les organisations en matière de politique du bien-être ?

La plupart des entreprises s’occupent principalement de la sécurité au travail, alors que d’autres questions sont en fait beaucoup plus importantes à l’heure actuelle. Pensez aux risques psychosociaux, comme le burn-out, et la crise du coronavirus. Pourquoi les entreprises se concentrent-elles principalement sur la sécurité au travail ? C’est tout simplement parce qu’un accident grave ou mortel a un impact immédiat énorme sur une entreprise. Alors que l’impact est moins immédiat si une personne meurt d’un cancer du poumon vingt ans après avoir été exposée à l’amiante.

Il y a aussi une raison financière pour laquelle les entreprises se concentrent actuellement davantage sur la prévention des accidents du travail que sur la prévention de l’absentéisme, par exemple. Premièrement, contrairement aux Pays-Bas, les employeurs de notre pays ne doivent verser un salaire en cas de maladie que pour une période limitée. Chez nos voisins du Nord, ils doivent le faire pendant deux ans et ce n’est qu’après que l’assurance maladie intervient. En conséquence, les employeurs s’y sentent beaucoup plus responsables de la prévention de l’absentéisme (à court terme). Mais l’attention prédominante accordée aux accidents du travail concerne aussi les primes d’assurance. La cotisation de l’entreprise à l’assurance maladie n’augmente pas proportionnellement si de nombreux travailleurs sont malades pendant de longues périodes. Alors que c’est le cas pour les accidents du travail. Ceux-ci sont assurés par des assureurs privés et ceux-ci suivent très attentivement les accidents du travail. Si vous avez beaucoup d’accidents du travail, votre prime augmente. 

Quelle est votre recommandation spécifique pour les entreprises ?

Ma recommandation est que les autres domaines du bien-être au travail soient autant mis en évidence que l’aspect de la sécurité. L’absentéisme est en train d’augmenter d’une façon inquiétante. L’absentéisme de longue durée est pour une grande partie dû à des troubles musculo-squelettiques, c’est pourquoi il est si important de prêter attention à l’ergonomie, par exemple. 

Pourquoi alors cette focalisation sur l’aspect de la sécurité ?

C’est parce que nous avons acquis dans ce domaine beaucoup d’expérience utile qui est en fait applicable aux autres domaines du bien-être au travail. Si vous êtes capable de gérer la sécurité, vous pouvez aussi gérer les autres domaines en utilisant les mêmes principes. 

Quelles sont les 5 pistes dont les entreprises devraient tenir compte ?

Tout d’abord : les procédures d’onboarding. En d’autres termes : la bonne personne au bon endroit. Il est important de recruter des personnes qui correspondent à la culture de votre entreprise et qui ont également les capacités mentales et physiques nécessaires. Si vous ne le faites pas, vous retrouverez à la longue avec une personne au comportement inapproprié et souvent dangereux. Ceci ne s’applique pas seulement aux personnes, mais aussi aux machines : vous ne pouvez autoriser que des machines sûres dans votre entreprise.

Une deuxième piste consiste à enquêter sur les incidents et les accidents du travail après le sinistre et à examiner comment vous pouvez les éviter. Outre les accidents du travail, il s’agit ici aussi de cas de harcèlement, de burn-outs, d’empoisonnements, de contamination au coronavirus, etc.

La troisième piste concerne la maintenance. L’entretien correct des installations chimiques, par exemple, pour éviter les fuites. C’est un aspect de la sécurité généralement négligé.

Une quatrième piste est l’examen de conformité : les listes de contrôle pour vérifier si vous êtes en conformité avec le cadre légal, par exemple en matière de sécurité incendie.

Et enfin : l’analyse générale des risques. Même si je n’y crois pas vraiment personnellement, la législation lui accorde beaucoup de valeur. Il s’agit de dresser la liste des risques dans l’entreprise. C’est un objectif noble en soi, mais l’expérience montre que de très nombreuses entreprises ont des difficultés à le faire. Cela demande beaucoup de temps et d’énergie, mais cela ne rapporte pas grand-chose. 

Conseiller en prévention de l’année : entretien avec Koen Bordeaud’huy (Samoco)

« Nous procédions déjà au contact tracing bien avant la mise à disposition d’une application »

Koen Bordeaud’huy, qui est QHSE Manager au sein de Samoco, s’est récemment vu décerné par Agoria le prix de conseiller en prévention de l’année dans la catégorie entrepreneur. Nous lui avons posé la question ce qu’il a fait pour mériter ce titre.

Carte blanche

Voilà maintenant deux ans et demi que Koen travaille en tant que responsable « Qualité, Hygiène, Sécurité, Environnement » au siège de la société d’assemblage industriel Samoco. Cette année fut pour lui particulièrement caractérisée par la gestion de la crise du COVID-19. « Lors de la première entrée en confinement, mon patron m’avait donné carte blanche. De nombreux emplois ont été supprimés, ce qui l’a amené à décider d’instaurer le chômage temporaire au sein de l’entreprise. Cependant, il a souhaité que je continue à travailler, chose qu’il jugeait utile ». Grâce à son réseau étendu au sein du secteur de la prévention et du secours, Koen parvient à acquérir l’information nécessaire bien plus vite que ses collègues. « Ça fait 25 ans que je suis membre de la Croix-Rouge, je suis pompier, j’enseigne à PAULO et au WOBRA (l’école provinciale pour les secours) et je fais partie de l’intervention en cas de catastrophe. »

Dispositifs pour les organismes de bienfaisance

Bien heureusement, Samoco était déjà bien équipé au moment où la crise du COVID-19 éclate. L’entreprise n’a jamais été en manque de dispositifs. « Nos employés ont immédiatement reçu un colis comprenant un gel pour les mains, un masque, des gants et des consignes qui les accompagnent. Nous avons eu le luxe d’avoir passé une grosse commande de masques FFP3 fin 2019. Nous avons même pu faire don d’un certain nombre de dispositifs à des organismes de bienfaisance ».

Une communication accessible à tous

Le dada de Koen est une communication accessible à tous et surtout la communication visuelle. « Nous suivons cette stratégie à la fois sur Facebook, à l’aide de nos écrans physiques sur le lieu de travail et par émail. Nous avons élaboré plusieurs vidéos éducatifs, entre autres sur la manière de bien désinfecter. Nous avons également rassemblé toutes les informations utiles concernant le virus dans une brochure comprenant 20 questions et réponses sur COVID-19. Les questions sont toujours formulées de telle façon afin d’être accessibles à tous : succinctement et principalement à l’aide de visuels. A titre d’exemple, une des questions posées : que faire en cas de symptômes ? Ou vivre avec quelqu’un qui présente des symptômes ? »

Pionnier dans le contact tracing

Koen procédait déjà au suivi des contacts bien avant que les autorités lancent leur application pour le contact tracing. « Nous avons rapidement procédé au suivi des contacts, nous n’avions pas besoin d’une application pour cela. Nous localisons et enregistrons toute personne présentant des symptômes. Les personnes qui ont été en contact avec les personnes présentant des symptômes sont appelées. Ce coup de fil est accompagné d’un autre et d’un émail contenant plus d’informations. Nous essayons surtout de rassurer les gens et leur demandons de ne pas paniquer. Grâce à nos efforts, nous avons eu très peu de cas positifs confirmés ».

Le télétravail comme norme

Nous avons misé activement sur le télétravail à domicile. « S’il est possible, nous avons toujours promu le télétravail. Sauf pour nos techniciens, conducteurs de grue ou plieurs, pour qui le télétravail est rendu évidemment bien plus difficile. Lors du premier confinement, j’étais souvent seul, ou juste en présence de quelqu’un de l’administration. Le groupe a également investi dans un télétravail renforcé et plus aisé afin d’optimiser davantage le système actuel ».

Prendre soin les uns des autres

Koen porte également attention à l’aspect psychosocial. « Chaque chef de département a des contacts hebdomadaires avec son équipe par Teams. De préférence visuellement, afin de se voir aussi. Ce faisant, on demande si tout le monde se porte bien. Beaucoup de gens avaient peur d’être infectés. Pour la fin de l’année, nous préparons une édition de Noël de notre brochure présentant les questions et les réponses, dans laquelle nous allons nous concentrer sur le mental : prendre soin les uns des autres. Nous avons souvent souligné la question et l’avons aussi mis en lien avec le soin du matériel.  

Bonnes pratiques

Chez Samoco, beaucoup de choses sont actuellement en cours de préparation. « Nous voulons réaliser différents projets et visons plus de numérique et de communication visuelle. Par exemple, notre petit livre sur les bonnes pratiques pour nos plieurs est composé de figures et de dessins. Nous voulons une communication simple et utilisons dès lors des points d’attention ajoutés de quelques touches. Nous avons également l’idée de créer par tâche un petit livret comprenant une analyse des risques de dernière minute (LMRA), par exemple, avec des consignes pour bien protéger ses mains. Ici aussi, nous utiliserons surtout le visuel à l’aide de pictogrammes. Au dos on retrouve la description en 5 langues. Nous voulons continuer à compléter et à élargir l’initiative. Bien que nous n’ayons certainement pas l’intention d’en faire une encyclopédie, nous visons 20 pages maximum en format de poche, car ce format est utile pour l’avoir à tout instant à portée de main, ce que nous vérifions lors de nos visites ou contrôles des lieux ».

Réalité virtuelle

Koen est en ce moment passionné par la réalité virtuelle. « Je suis énormément mordu par la réalité virtuelle. J’ai élaboré un scénario pour toutes les Life Saving Rules (LSR) que nous voudrions implémenter l’année prochaine. Un autre défi repose sur le toolbox interactif « the line of fire », avec lequel nous voulons prévenir les blessures aux mains. Nous avons procédé à l’achat de nouveaux gants, crochets push-pull, de harnais pour le travail en hauteur, et aussi d’un step relief, qui permet de se redresser à l’aide de deux sangles lorsqu’on tombe. Terminons enfin par nos formations concernant le travail en combinaison anti-acide que nous continuerons à déployer au cours de l’année prochaine ».

De belles perspectives pour 2021.

Encore félicitations, Koen, pour votre prix !

La parole au client. INNI publishers a eu un entretien avec Hans Goorden (de Goorden & Glibert)

Des professionnels parlant un langage à portée de tout le monde. Informer le client sur la qualité, la sécurité et l’environnement. Voilà ce qu’INNI publishers vise à faire de jour en jour. Et nos clients savent l’apprécier, comme en témoigne Hans Goorden, Senior Legal Consultant chez Goorden & Gilbert, client d’INNI de longue date maintenant.

Quels ouvrages d’INNI peut-on retrouver dans votre bibliothèque ?

« Pour l’instant, de vous, je me sers de : Kwaliteits-, veiligheids- en milieumanagementsystemen et De norm ISO 45001, Veiligheidsmanagementsystemen de Jan Dillen et Actuele uitdagingen voor de veiligheid en de gezondheid op het werk de Jan Van Peteghem. »

À quoi vous servent-ils ?

« Ces ouvrages sont hautement instructifs. Ils me donnent beaucoup de conseils et de tuyaux pratiques à partir de la théorie. Les auteurs sont parvenus à rendre à la portée de tous une réglementation très complexe sans langage trop technique. Je suis moi-même régulièrement consulté à propos de l’ISO 45001 et je suis très engagé dans l’implémentation de la norme. L’ouvrage de Jan Dillen est pour moi un instrument de travail indispensable. »

Quels sont les autres points forts des ouvrages ?

« Certainement leur rapport qualité/prix. Les ouvrages d’INNI sont instructifs, évidemment, mais ils vont aussi directement à l’essentiel. Vos éditions sont soignées et – j’y accorde quand-même une certaine importance pour une publication professionnelle – elles sont bien écrites. Et enfin et surtout : leur format me permet de les prendre avec moi lorsque je visite un client. Je ne peux donc que vivement conseiller le responsable QSE de se procurer les ouvrages d’INNI publishers. »

 

Publié le 4 mars 2020.

Les raisons de la parfaite intégration d’INNIwise et d’INNIsure dans le quotidien du conseiller en prévention.

INNI Publishers a lancé deux nouveaux outils pour le conseiller en prévention. INNIwise est un pratique toolkit online, INNIsure un outil de la compliance qui vous oriente à travers la législation sur le bien-être au travail. Leurs concepteurs vous expliquent les raisons du plus d’INNIwise et d’INNIsure pour le conseiller en prévention et de quelle manière ces outils l’aident à être plus efficace dans son travail.

Entretien avec les concepteurs de ces nouveaux outils pratiques
L’année dernière, l’équipe d’INNI Publishers a élaboré deux outils particulièrement novateurs et pratiques. C’est avec beaucoup de fierté que nous avons pu lancer INNIwise et INNIsure. INNIwise est un pratique toolkit online qui aide le conseiller en prévention à travailler plus efficacement. INNIsure est l’outil de la compliance qui vous dit si vous êtes 100% en ordre avec la dernière réglementation en vigueur. Nous avons demandé à trois membres de l’équipe dans quelle mesure INNIwise et INNisure représentent un nouveau pas en avant pour le conseiller en prévention. Nancy De Braekeleer, Sim Doolaege et Andries De Reyghere nous en disent plus.

 

Nancy De Braekeleer est Publishing manager chez INNI Publishers. Responsable en dernier ressort, elle a été étroitement associée au développement des outils, de leur conception à leur mise en œuvre. Nous lui avons demandé pourquoi INNIwise a été conçu et comment INNI Publishers a développé ce toolkit numérique online.

Nancy, dites-nous en un peu plus sur INNIwise et sa conception. 
« Nous avons d’abord fait notre petite enquête parmi nos abonnés de la version papier de nos éditions. Il s’est avéré qu’ils souhaitaient non seulement une information par voie numérique, mais également une information pratique. Sur ce, nous avons décidé de créer une plateforme numérique constituée de documents pratiques, de notes explicatives et de législation. Cette plateforme permet aussi aux conseillers en prévention de soumettre leurs questions aux experts. Chaque pas dans sa conception a été vérifié lors de discussions d’un groupe cible, ce qui nous a permis d’avoir un retour intéressant à partir duquel nous avons pu orienter INNIwise ».

Qu’est-ce qui s’est révélé lors de ces discussions de groupe ?
« Nous avons ressenti un profond besoin d’échanges entre conseillers en prévention. Le conseiller en prévention a aujourd’hui surtout le sentiment de l’éternel recommencement, alors que son collègue, lui, pourrait lui donner un bon conseil, possède déjà un document modèle, a lu un article intéressant, etc. Voilà la raison pour laquelle nous avons voulu créer une vaste communauté de conseillers en prévention. Pour qu’ils aient des échanges entre eux ».

Comment assurez-vous une information de qualité et à jour ?
« Nous sommes une maison d’édition. Voilà maintenant des années déjà que nous garantissons une information de qualité et que nous suivons l’actualité quotidiennement. L’expertise venant d’autrui nous manquait un peu. INNIwise est soutenu par une étroite collaboration avec les experts, qui se chargent d’une information de qualité. Notre objectif est vraiment de favoriser la qualité au lieu de la quantité ».

Pourquoi dois-je en tant que conseiller en prévention impérativement faire un essai gratuit d’INNIwise ?
« C’est simple. Vous verrez par vous-même comment ce toolkit numérique online vous rend la tâche plus facile. La recherche parmi les informations proposées est facile, vous téléchargez des documents que vous pouvez directement utiliser dans votre application, les questions de vos collègues pourront peut-être vous servir d’inspiration, car il s’agit là souvent de problèmes auxquels vous êtes vous-même confrontés. Ces problèmes ont bien souvent besoin d’une réponse pratique et non d’une réponse ressortant des livres. Et justement, cette recherche se présente souvent fastidieuse en raison du manque de temps ».
Vous voulez essayez gratuitement ?

 

Sim Doolaege est en tant que conseiller stratégique à l’origine d’INNIsure, le nouvel outil de de la compliance d’INNI Publishers. Nous lui avons demandé de nous en dire un peu plus sur les avantages que représente INNIsure pour le conseiller en prévention et de nous expliquer ce qui rend INNIsure si indispensable pour ceux qui veulent être à tout moment en ordre avec la législation sur le bien-être au travail.

Sim, du papier au numérique : quels avantages pour le conseiller en prévention ?
« INNIsure vous offre un service complet sur 4 niveaux : sur le plan du contenu, sur le plan opérationnel, économique et ergonomique. Je m’explique.
Le contenu est tenu quotidiennement à jour par nos experts. En complément du texte législatif, le conseiller en prévention reçoit également des explications. Il est donc à tout moment en possession de la bonne interprétation du texte.
Sur le plan opérationnel, INNIsure est une application simple et pratique qui vous donne un aperçu complet et significatif de la législation. Grâce à son vaste cadre, elle se focalise sur la gérabilité opérationnelle, à partir de l’état de conformité jusqu’aux mesures d’amélioration.
Sur le plan économique, INNIsure est budgétairement parlant très favorable. Certains logiciels du marché sont particulièrement coûteux pour une entreprise. En revanche, nous avons opté pour un logiciel très abordable sans pour autant réduire la qualité et le contenu.
Sur le plan ergonomique, INNIsure est une application qui reprend tout. Donc fini de devoir passer d’un bureau à l’autre ou d’une feuille de travail à l’autre. Facile aussi de partager avec les autres, ce qui rend possible de donner accès à quelqu’un de l’extérieur afin qu’il puisse gérer certaines tâches lui-même. L’exportation est facile. Les mise à jour se font automatiquement, l’usager ne doit donc pas gérer les documents lui-même ».

Pourquoi pensez-vous que le conseiller en prévention ira rapidement intégrer le toolkit online dans son quotidien ?
« Il doit à tout moment pouvoir informer son organisation de la législation significative. INNIsure l’aide à avoir une vue d’ensemble sur la conformité et les actions qu’il doit entreprendre. Plus d’obstacles pratiques donc. Car aujourd’hui, on évite souvent de faire la démarche car ce processus est très fastidieux et complexe ».

Comment garantir la qualité de l’outil de la compliance ?
« Les textes législatifs sont mis à jour quotidiennement par la rédaction composée de collaborateurs professionnels. De plus, nos partenaires d’expérience nous procurent des notes explicatives. Des experts en la matière suivent ce processus de très près.

Pourquoi un conseiller en prévention doit-il absolument essayer gratuitement INNIsure pendant 15 jours ?
Permettez-moi de le dire d’une autre façon : pourquoi ne pas le faire ? Une application belge, adaptée aux besoins belges, développée par et avec des experts et des collègues. Il ne peut que vous faire gagner du temps et des ressources que vous pouvez utiliser à d’autres fins.

 

Andries De Reyghere est le gérant de Bits of Love à Bruges. Il a inventé le concept technique du toolkit numérique INNIwise et a relevé ce défi de présenter facilement une multitude d’informations à jour. Andries nous explique comment il a fait.

Andries, pourquoi ce concept novateur ?
« Depuis quelques années déjà, nous constatons en matière d’information spécialisée une transformation numérique. Les gens veulent une information immédiate, personnalisée et à portée de main. Une seule version papier ne suffit donc plus, il faut impérativement la compléter par un produit numérique qui offre plus de possibilités ».

De quelle manière ce toolkit numérique répond-il aux besoins du conseiller en prévention ?
« Grâce à une recherche ciblée, le conseiller en prévention arrive à trouver plus efficacement ce qu’il recherche. De plus, il peut le faire de partout, au bureau, en route, ce qui est bien entendu l’énorme avantage du numérique par rapport à la version papier. L’information est aussi à tout moment d’actualité. Le grand plus d’INNIwise : les informations sont continuellement complétées par les experts. Le conseiller obtient donc une information complète et fiable ».

Quel est pour vous en tant que concepteur le plus gros avantage d’INNIwise ?
« INNiwise est un grand pas en avant vers une base de données entièrement numérique composée d’informations de qualité. INNIwise est une plateforme entièrement prête pour demain. La base est bien en place et peut être facilement complétée, devenir plus intelligente et liée à différents produits numériques. De plus, INNI peut également proposer des informations partielles sans trop de difficultés à l’aide d’outils de ces partenaires. En bref : INNIwise est très flexible et prêt pour le monde numérique en évolution.

Pourquoi chaque conseiller en prévention devrait-il tester INNIwise gratuitement ?
« INNI Publishers prend le travail du conseiller en prévention à cœur. INNI est toujours à l’écoute de ses clients. En testant le toolkit et en donnant un retour, INNIwise ne peut être que rendu plus facile d’utilisation. Ce qui est tout bénéfique pour le conseiller en prévention.

 

Vous voulez en savoir plus ?
www.inniwise.be
www.innisure.be

Aperçu des cotisations forfaitaires minimales pour les services externes pour 2020

Depuis le 1er janvier 2016 une nouvelle réglementation sur la tarification des services externes de prévention et de protection au travail est en vigueur. Celle-ci visait à réformer le système de financement des services externes.

Vous versez par travailleur la même cotisation minimale, qu’il soit soumis ou non à la surveillance de santé obligatoire.

Cette cotisation minimale n’est pas la même pour chaque entreprise. Elle dépend du groupe tarifaire auquel votre entreprise appartient. Nous en distinguons cinq. Le législateur s’appuie pour le tarif sur ces critères :

  • L’activité principale de votre entreprise (sur base des codes NACE)
  • Le nombre de travailleurs dans votre entreprise

La cotisation forfaitaire est redevable par travailleur qui est enregistré chez vous via Dimona pendant une année civile complète.

Pour un travailleur qui n’a pas travaillé chez un employeur pendant une année civile complète, vous payez 1/12è du tarif par mois civil pendant lequel le travailleur a été enregistré pour une partie de la journée ou plus chez cet employeur.

Les taux minimaux 2020

Les tarifs des services externes sont liés à l’indice santé. Ils sont adaptés chaque fois au 1er janvier de l’année si l’indice de l’année précédente a été dépassé. Étant donné que l’indice 2019 n’a pas été dépassé, les tarifs 2020 restent les mêmes :

Ces dernières années, on semblait vouloir mettre à l’ordre du jour une profonde révision de ce régime tarifaire. Nous signalons, par exemple, l’avis n° 215 du 31 juillet 2018 du Conseil supérieur pour la prévention et la protection au travail.

En 2019 aussi, une révision s’est avérée impossible. Une éventuelle révision s’affichera donc (à condition d’un nouveau gouvernement fédéral et d’un nouvel AR) au plus tôt qu’à partir du 1er janvier 2021.

 

Publié le 23 janvier 2020.

Ce qu’il faut savoir au sujet de la rédaction du rapport annuel du Service interne de prévention et de protection au travail

D’après l’art. II.1-6, § 1 et 2 du Code sur le bien-être au travail, le service interne de prévention et de protection au travail est tenu de rédiger un rapport annuel des activités de l’année civile précédente. Ce rapport permet à l’employeur et au Comité pour la prévention et la protection au travail d’avoir un bon aperçu du fonctionnement du service de prévention.

La Direction générale Contrôle du bien-être au travail (DG CBT) met à disposition des modèles (avec des notices explicatives) sur le site du Service public fédéral Emploi, Travail et Concertation sociale : Rapport annuel du Service interne de prévention et de protection au travail – Exercice 2019. Vous pouvez télécharger ces modèles, les remplir par voie électronique et les sauvegarder chez vous.

Il existe trois formulaires qui permettent d’établir le rapport annuel:

  • Le formulaire A est destiné à un employeur ayant un service interne de prévention et de protection au travail sans sections.
  • Le formulaire B est destiné à un employeur ayant un service interne de prévention et de protection au travail avec sections.
  • Le formulaire C est destiné au groupe d’employeurs qui organisent un service commun pour la prévention et la protection au travail.

Une notice explicative commente les différentes rubriques des formulaires A, B et C. Le lien entre l’explication et le formulaire y apparaît clairement. Nous vous conseillons de l’imprimer au préalable pour remplir correctement les formulaires.

En fonction de la composition de l’organisation et du service de prévention afférent, on doit utiliser un modèle différent. C’est expliqué en détail dans la note explicative.

Le service de prévention peut également mettre des informations supplémentaires sur son fonctionnement à la disposition de l’employeur et du comité, mais cela doit être fixé au préalable dans le règlement intérieur concernant le fonctionnement du comité.

Vous ne devez plus envoyer ce rapport annuel aux fonctionnaires chargés de la surveillance de la Direction générale Contrôle du bien-être au travail. Vous devez toutefois le tenir à leur disposition. Vous devez également le présenter au comité pour la prévention et la protection au travail lors de sa réunion en février.

Publié le 23 janvier 2020.

Inspections du Contrôle du bien-être au travail – 2020

Quelles campagnes le Contrôle du bien-être au travail prépare-t-il pour 2020 ?

Le Contrôle du bien-être au travail regroupe les anciennes inspections technique et médicale. Il a comme mission d’assurer, dans le secteur privé comme dans le secteur public, le respect de la mise en œuvre des politiques en matière de bien-être au travail. Il joue un rôle de conseil, de prévention et de répression.

Un inspecteur évalue lors de chaque visite la politique bien-être de l’employeur. Il parcourt avec lui son approche pour chaque domaine du Code Bien-être. Il se concentre par la suite sur le thème choisi pour le secteur.

Il attache une attention particulière à :

• contrôler si l’employeur gère suffisamment les risques et s’il consulte des experts-conseils ;
• encourager les travailleurs et leurs représentants à participer à la réalisation d’un lieu de travail sûr et sain.

Au cas où vous ne seriez pas légalement en ordre en tant qu’employeur, vous risquez d’être sanctionné. Cette sanction peut se limiter à un simple conseil oral ou écrit. Il se peut aussi que vous recevez un avertissement. En cas de manquements majeurs, l’inspection peut ordonner l’arrêt des activités.

Les campagnes 2020 en cours de préparation

Le Contrôle du bien-être au travail prépare les campagnes suivantes :

Les campagnes régionales

• Anvers : Logistique ; thème Produits dangereux
• Bruxelles : Livraison à domicile; thème Ergonomie
• Hainaut : Industrie textile; thème Sécurité
• Limbourg et Brabant flamand : Boucheries ; thème Sécurité
• Liège : Cimetières ; thème Ergonomie
• Namur-Luxembourg-Brabant wallon : Institutions hospitalières ; risques psychosociaux
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Gepubliceerd 8 januari 2020.

Un coup d’œil dans les coulisses de notre nouvelle boutique en ligne

Le 16 décembre, INNI Publishers rouvre sa boutique en ligne. Un aperçu clair et une commande plus facile ne sont que deux des avantages de la nouvelle boutique. Jetez-y un œil à partir du 16 décembre. Pour le conseiller en prévention cette boutique nouveau style signifie un sérieux bond en avant. Le créateur de sites web Sven Moeyersoms de la SPRL Mailbox nous explique pourquoi.

Sa facilité d’utilisation. C’est l’atout majeur de la nouvelle boutique en ligne d’INNI Publishers. Mais ce n’est pas aussi simple que ça en a l’air. Le créateur du site Sven Moeyersoms de Mailbox nous dit pourquoi il est dorénavant si facile de commander une publication INNI en ligne.

Vous avez conçu la nouvelle boutique en ligne d’INNI. Par où commence-t-on ?

Chez Mailbox, nous commençons d’abord et avant tout par un entretien avec le responsable de la boutique en ligne à créer. Ensemble, nous débattons de l’objectif et des fonctions dont la boutique a besoin. Lorsque le client nous montre quelques exemples de boutiques en ligne qu’il trouve réussies, ça nous facilite la tâche. On se trouve dès lors tout de suite sur la même longueur d’onde.
Après ce briefing, on se met au travail. Tout d’abord, nous envoyons au client un « look and feel » de la page d’accueil. C’est la première chose que voit le visiteur, son premier sentiment ressenti est donc très important. Pour la nouvelle boutique en ligne d’INNI, nous avons rejoint le « look and feel » de www.innigroup.com, site que nous avons développé l’année dernière.
En concertation nous ajustons éventuellement la page d’accueil, après quoi nous obtenons une approbation finale. Nous travaillons ensuite sur les autres pages dans le même style.
Une belle présentation est le plus important pour une boutique en ligne. Donc nous avons besoin de belles photos et assez bien de contenu. Une fois intégrés, ceux-ci donnent à la boutique en ligne une toute autre dimension.

Que fait d’une boutique en ligne une bonne boutique en ligne ?

Le client doit facilement s’y retrouver. S’il met trop de temps à trouver ce qu’il recherche, il s’en ira très vite. La facilité d’utilisation est un souci permanent chez Mailbox.
D’abord la page d’accueil. Un slider présente les livres les plus importants. En dessous des raccourcis vers les principales catégories. Ensuite, nous avons une section avec un appel à l’action où nous mettons en avant un livre particulier.
En bas de la page vous avez le blog, l’endroit où INNI informe ses clients des nouveautés, d’un événement à venir ou d’autres nouvelles importantes. Ces informations sont faciles à créer et personnalisables. Ce que nous trouvons important. Les collaborateurs d’INNI peuvent gérer eux-mêmes leur site et le mettre à jour quand ils le veulent en toute autonomie. Ils ne dépendent pas de nous pour ça.

Enfin, le client peut s’inscrire sur la newsletter via la boutique en ligne. Ainsi il sera informé de nouveaux livres, de promotions, …

Y a-t-il des éléments spécifiques dans les fonctionnalités de la boutique en ligne d’INNI ?

En effet, le client a le choix entre la version classique, c.-à-d. en papier, et la version numérique (eBook) d’une publication. La boutique regroupe également certaines publications ce qui permet de commander différents livres de la même série sur la même page. Vous voyez, à nouveau ce premier souci de la facilité d’utilisation.
Un PDF peut également être joint à chaque produit. L’avantage ? Le client peut télécharger la table des matières et/ou quelques pages ce qui lui donne un meilleur aperçu du livre. INNI a aussi la possibilité d’ajouter des vidéos. Utile pour éventuellement présenter l’auteur ou pour publier une interview avec celui-ci.
Enfin, nous sommes très à cheval sur la qualité de la base de données client. Le client ne peut commander un livre que s’il est connecté. Il doit donc impérativement créer un compte, ce qui lui est tout bénéfique. INNI dispose de cette manière de toutes les informations nécessaires pour un traitement aisé de la commande. Chaque client a également son propre historique, ce qui permet à INNI de bien cibler l’information à base des intérêts et des achats du client.

Pour vous, quelle est la plus grosse réussite de la boutique en ligne d’INNI ?

On est très content de sa mise en page. La boutique en ligne rejoint parfaitement bien le site d’INNI Group. Un autre plus : le client peut faire une recherche par catégorie. Parfois « simplicité » est synonyme de « plus pratique » et de « plus efficace ». Et enfin, nous souhaitons souligner la très bonne collaboration avec Nancy et Rachel que nous remercions par cette même occasion.